02 avril 2009: Conflit réglé

La maison Klöcker investit fortement

Il a mis longtemps, très longtemps : Toutefois, le conflit de planification maintenant semble réglé et le chemin aux investissements d’un montant de quelques millions est ouvert. La maison Klöcker va élargir son site à Borken-Weseke – et battre froid la triste situation économique.

Il a mis presque cinq ans. Maintenant, la maison Klöcker a reçu le permis pour son investissement. On va créer dix postes de travail et investir plus de deux millions d’euros dans les plans d’élargissement. Dû à un conflit couvant, ceux-ci ont été en suspens. Un investissement à l’étranger longtemps a semblé d’être la seule alternative. Finalement, le plan d’urbanisme a été approuvé par les instances officielles.

Leader mondial en technologies progresse

Dans son métier, la maison Klöcker est un vrai cacique sur le marché mondiale : On ne peut pas couper à l’entreprise traditionnelle dans l’aire des accessoires pour des machines à tisser. Klöcker fournit chaque producteur des machines à tisser dans le monde entier avec des éléments pour la formation des lisières. «Dans l’industrie textile, la soi-disant lisière Klöcker est aussi marquante comme ‘Nutella’ pour des crèmes au chocolat ou ‘Tempo’ pour des tissus», Dr. Christoph Schwemmlein, le gérant de l’entreprise et directeur des départements ventes et développement depuis 1991, explique.

Le fait que c’est précisément une entreprise du secteur textile redonne du courage. Après tout, ce secteur a souffert (et toujours souffre) des temps durs les années passées, surtout à cause de la compétition à bas prix de l’Est ainsi que de l’Extrême Orient. En particulier, la spécialisation et l’utilisation du savoir-faire accumulé – 110 brevets environ le prouvent – ont caractérisé la vie de la maison Klöcker : Grâce au pouvoir d’innovation gros, on a maintenu l’avance technique et on a résolument ouvert et réservé sa propre branche avec une conscience pour service extraordinaire.

La bonne évolution commerciale permet, non, elle exige l’élargissement actuel. Dr. Schwemmlein : «Les commandes présentes ainsi que des bonnes chances des autres affaires exigent une extension de nos capacités de production.» Avec la construction des deux ateliers – l’un pour le moulage par injection, l’autre pour le dépôt – sur une surface globale de plus de 2.500 m² on veut en tenir compte. Les deux bâtiments nouveaux seront intégrés dans le complexe des bâtiments qui existe déjà.

L’agrandissement est aussi tellement important, comme la société produit soi-même ses moules et les accessoires pour les machines à tisser, afin qu’on puisse maintenir le niveau de qualité particulièrement élevé. Le développement, le service et d’autres zones du cŒur importants exclusivement sont effectuées en et contrôlées via l’Allemagne. Pourtant, on s’est trouvé forcé de transférer des machines pour moulage par injection à Bandung en Indonésie en raison des divers délais du projet de construction.

Le conflit de planification

La «histoire du retard» commence en 2004, quand l’entreprise Klöcker a présenté les plans pour l’agrandissement aux commissions responsables au quartier de Weseke. Les fonds de la proposition sont en détail l’achat d’un terrain voisin et séparé par un chemin pour assurer le site, le transfert de ce chemin autour du terrain et la construction des deux ateliers sur le «vieux» terrain. Le fait qu’il s’agit d’une centre de développement, ni de bruit ni d’émissions sont produits – c’est pourquoi un conflit avec la zone résidentielle proche paraît être impossible, le cas indéniable.

Mais tant s’en faut. Le projet que la cité de Borken a toujours supporté d’une manière constructive est rejeté. Encore nouvelles doutes, des pétitions et détournent l’entreprise de sa ligne vers la croissance. Après avoir effectué l’achat du terrain nouveau sans problèmes, le transfert du chemin (et avec cela l’utilisation du terrain dans la pratique par la maison Klöcker) inopinément devient un obstacle pratiquement insurmontable. La municipalité doit faire passer une forte modification du projet initial pour la jouissance au service d’homologation à Münster.

Cinq ans s’écoulent, jusqu’à ce que la procédure d’autorisation prend place. «Nous jetons un regard rétrospectif avec une certaine amertume sur ce temps, dans lequel des emplois stables auraient eu déjà créé et des étapes de production auraient eu maintenu dans le pays», dit le gérant Dr. Schwemmlein.

Support par la C.C.I.

Les années passées, la C.C.I. a supporté l’entreprise et a fait de son mieux afin que la société n’ait pas décroché et restait fidèles à ses plans. La C.C.I. Nord Westfalen a aidé avec des expertises et a intervenu dans des discussions. Elle pris position et encouragé le management de ne pas désespérer malgré tous les résistances.

«La situation de la part de notre point de vue objectif s’est avérée à tel point qu’un investissement à l’avenir de l’entreprise et du site Weseke a rencontré une résistance des personnes seules pour des raisons incompréhensibles», dit Hans-Bernd Felken du bureau de la C.C.I. à Bocholt. Il renvoie à l’initiative de la C.C.I. pour des entreprises industrielles avec laquelle on aimerait souligner l’importance de l’industrie et briguer des meilleures conditions chez les communes. «Depuis le début, il n’avait fait aucun doute que nous soutenons le plan d’occupation de sols pour l’extension d’entreprise Klöcker. C’est pourquoi nous avons confirmation grâce au l’agrément en fin de compte.»

Il faut espérer que les esprits s’apaiseront à Weseke, après la décision évidente. «Nous supposons que les conséquences positives de l’agrandissement sont suffisamment éloquentes : les ordres pour la construction, les emplois nouveaux ainsi que le fait d’avoir eu gardé une grande entreprise industrielle au site. Tous les habitants de Weseke verront rapidement le profit de cette partie active de la commune…», dit Melanie Hanning comme le porte-parole de l’entreprise.

Procéder activement est la devise pour l’avenir. Déjà maintenant, on réfléchit à ce sujet comment on peut utiliser le terrain nouveau pour satisfaire la demande continuelle pour la « lisière-Klöcker » et les autres innovations en réalisant plus de productivité et des autres emplois.

Et demain …?

Malgré le résultat positif, le « cas Klöcker » révèle qu’on toujours continue à mettre aux entreprises des classes moyennes des bâtons dans les roues, malgré de leur fonction reconnue en tant que moteur de l’économie. Il va de soi qu’il nous faut avoir des possibilités pour objecter, mais il y a trop d’instances et il dure trop longtemps jusqu’à ce qu’on parvient à une décision. Des entreprises qui doivent décider entre des investissement chez soi ou à l’étranger rencontrent des conditions qui sont spécialement contrastées. Pour la région, ce succès a été assez important qui « surtout vient de ce que l’entreprise a été extrêmement insistante ainsi que fidèle à la site à Borken ».

Source : Wirtschaftsspiegel, Michael Jacoby, avril 2009