Selon Dr. Christoph Schwemmlein, un des deux gérants associés de la maison Klöcker, il a été « de justesse ». L’entreprise a failli décentraliser toutes ses activités vers l’Indonésie comme une élargissement nécessaire a été rejeté. Maintenant, la maison quand même voit des nouvelles perspectives.
Le jugement de la commission de planification est la raison pour laquelle une nouvelle procédure du plan d’occupation des sols a été initié pour la zone industrielles à Weseke. Suite à des plaintes des voisins, le tribunal administratif supérieur de Münster a rejeté le plan précédent l’année dernière. « L’expertise antibruit n’a pas suffit pour les juges » Dr. Schwemmlein se rappelle. « En théorie, nous pourrions pratiquer du commerce de détail » -
avec une exposition aux bruits ainsi qu’au trafic augmentée pour les riverains.
Toutes les possibilités exploitées
Mais c’est exactement ça que l’entreprise que produit depuis plus de 160 ans jamais fera. La maison Klöcker fabrique des outils high-tech et des accessoires pour des machines à tisser pour l’industrie textile. On trouve les développements provenant de Weseke dans tout le monde. Ils servent à la production des dos des nouveaux livres de Harry Potter. Klöcker a crée 45 postes de travails qualifiés près de la frontière néerlandaise, des jobs supplémentaires sont envisagés.
Carnets de commandes réjouissants
Les carnets sont pleins des commandes, l’élargissement devient de plus en plus nécessaire. « Nous avons besoins des nouvelles capacités de production ainsi qu’un nouveau service de développement » Dr. Schwemmlein explique. Depuis 2001 l’entreprise travaille sur les plans. Il y aurait assez d’espace. Sur une surface de presque 13.000 mètres carrés avec cinq halles, la maison Klöcker a investit 1,5 millions euros dans l’agrandissement d’une halle de production qui existe déjà. Certainement, le terrain n’est pas du tout épuisé jusqu’à la limite de propriété. Quand même, le droit du plan valide y met le holà : « Nous avons exploité toutes les possibilités ici. »
Une petite route sépare d’autres 9.000 mètres carrés qui s’imposent pour des investissements supplémentaires. Klöcker envisage d’élargir la technique d’injection des matières plastiques ainsi que la construction des outils pour environ deux millions euros. Pourtant, Klöcker est interdit de bâtir sur le propre terrain. « Des riverains craignent une exposition aux émissions et au trafic plus haute » Dr. Schwemmlein connaît les soucies de ses voisins, mais est à même de les dissiper : « Nous largement sommes au-dessous les limites de contrôle. »
Suite au jugement du tribunal administratif supérieur, Dr. Schwemmlein voulait renoncer tous ses plans. Soit l’entreprise déménagerait à Bandung en Indonésie ou les activités à forte intensité de main d’Œuvre déjà prennent place, soit on complètement aurait vendu Klöcker. Les deux possibilités aboutissent à une délocalisation de la production.
Nouveau plan
Dr. Schwemmlein remercie les politiciens dans le conseil et le district ainsi que la chambre de commerce et d’industrie (C.C.I.) Nord Westfalen du fait que très probablement tout s’arrangera pour le mieux. « Ils nous ont persuadé de ne pas jeter le manche après la cognée. » Avec succès. On a déjà élaboré et présenté un nouveau plan que le tribunal administratif supérieur s’en occupera encore une fois. « Mais cette fois-ci, le plan va résister » le gérant de la société dit. En 2009, il pourrait avoir sécurité de planification, une année plus tard l’élargissement serait finit : Au dernier moment.
Klöcker n’est pas le seul cas
La C.C.I. Nord Westfalen connaît ces cas. « Assez souvent il faut trouver la bonne balance entre les intérêts de l’industrie et de l’habitation » le gérant de la C.C.I. Hans-Bernd Felken dit. Fréquemment, l’urbanisation suit l’industrie et s’y rapproche plus tard. Cela peut provoquer des problèmes.
C’est la raison pour laquelle Felken conseille à des entreprises de suivre ce qu’il se passe dans l’environnement. Si l’on doit changer un plan d’occupation des sols et un quartier résidentiel se rapproche en direction de l’industrie existant, la C.C.I. est le bon interlocuteur. « Nous officiellement sont impliqué dans chaque procédure de planification » il souligne. Des experts de la C.C.I. vérifient sur place s’il y a des conflits potentiels et donc aident à éviter des ennuis.
Source : Journal « Wirtschaftsspiegel », Tobias Hertel, en avril 2007