Borken. Des scientifiques qualifient une solution créant rien que des gagnants une situation « win-win ». Le projet « MINT » est une telle solution. Le lycée Remigianum l’a initialisé au mois du novembre 2008.
MINT – ce sont les mathématiques, l’informatique, les sciences physiques et naturelles, et la technique. Aujourd’hui, il faut susciter l’intérêt des élèves pour ces disciplines. A ce propos, des lycéens qui concentrent sur la physique comme cours renforcé ont passé un stage de deux jours chez des entreprises locales : chez la société de traitement de déchets Westmünsterland Gescher, TK Absaugtechnik à Velen, AS Antriebstechnik à Reken ainsi que chez la maison Klöcker à Borken.
Ce sont non seulement les lycéens qui profitent de ce projet mais aussi les sociétés impliquées et les élèves du premier cycle qui sont en train de choisir leur cours renforcés. A l’occasion de la présentation qui a pris place dans la salle des actes, les lycéens ont fait mieux connaître le projet et les sciences aux élèves du premier cycle. « Aujourd’hui il nous faut quasiment enthousiasmer les tout-petits »Dr. Heiner Kleinschneider de la société pour l’encouragement de l’économie a plaisanté hier. Selon lui, il est important de montrer aux élèves leurs possibilités et perspectives dans la région quand ils décident pour une carrière des sciences physiques et naturelles : « Une entreprise comme Klöcker, par exemple, est leader mondial du marché ». Le professeur Günter Niehues souligne que les filles sont aussi maligne que les garçons : « Cinq de mes 16 élèves sont des filles ». Il ajout que les sciences physiques et naturelles sont ni tellement dure, ni seulement pour des spécialistes.
A l’occasion de leur présentation, les lycéens ont prouvé qu’ils sont des spécialistes déjà aujourd’hui : « Moi, j’ai analysé la période dans laquelle du composte décompose » Annika Wagner dit. Elle se réjouit qu’on l’a donné la possibilité de travailler avec des ustensiles professionnels. « Nous avons écrit des programmes pour des lampes que nous avons écrasé sur l’unité de contrôle » Anna Wilmink raconte. Avant le projet, elle a eu aucune idée sur l’informatique. « Mais c’est la combinaison de la physique et l’informatique qui est tellement intéressante ! » Comme le projet a été un tel succès, il certainement sera continué.
Source : Journal quotidien « Borkener Zeitung », 22 janvier 2009